UmiharaKawase (tout attaché) est une série de jeux de plates-formes qui a débuté il y a 20 ans sur SNES. Son nouvel épisode, Sayonara UmiharaKawase (que l’on peut traduire par « Adieu UmiharaKawase), est le premier à sortir du Japon. L’occasion pour nous de découvrir le gameplay complexe à maîtriser et les niveaux tordus typiques de cette licence.
Un jeu difficile
UmiharaKawase est une série vraiment étrange, qui nous met dans la peau d’une fillette évoluant dans un décor insolite, pour ne pas dire insensé. Armée d’une ligne de pêche lui permettant de s’accrocher aux murs, elle parcourt des niveaux courts, mais au challenge relevé. Tout comme dans les épisodes précédents, l’héroïne devra se balancer afin de franchir des trous béants, ou atteindre des plates-formes en hauteur. Il faudra également se débarrasser de divers ennemis ayant la forme de poissons sur pattes, afin de pouvoir rejoindre la porte marquant la sortie de chacun des cinquante niveaux que compte le jeu.
Comme les précédents épisodes, Sayonara UmiharaKawase est un jeu difficile, exigeant. Bien que les niveaux soient vraiment courts, la plupart pouvant être terminés en moins de 20 secondes, leur difficulté fait que le joueur bloquera souvent tant qu’il ne maîtrisera pas la physique de balancement. D’ailleurs, on peut rapidement se rendre compte du niveau des autres joueurs en regardant les meilleurs temps pour chaque niveau, ou en cherchant quelques vidéos du jeu sur Youtube, une expérience assez déprimante au demeurant. On se rend compte avec la pratique que, si les niveaux peuvent se terminer via le chemin principal, on peut aussi emprunter de nombreux chemins alternatifs, beaucoup moins évidents. Dommage d’ailleurs que l’écran inférieur de la 3DS ne soit pas utilisé pour montrer une vue du niveau, cela rendant plus difficile la découverte de ces chemins alternatifs. En outre, cette omission n’aide pas du tout le joueur dans sa découverte des niveaux, qui se fera souvent à l’aveugle, avec les échecs, la frustration et les blocages qui en découlent.
Des visuels trop sommaires
Les choix graphiques pour cet épisode sont pour le moins discutables. Sans s’attarder sur l’univers, qui pour le coup est respecté, le jeu est réalisé dans une 3D sommaire, qui nous rappellerait presque la N64. Les personnages et ennemis sont grossiers, et l’effet de parallaxe utilisé lorsque l’on progresse dans le niveau est incohérent et donne la nausée. Difficile de justifier ces choix, alors qu’un simple retour au design habituel de la série, avec peut-être des sprites plus détaillés et un effet de parallaxe bien calibré auraient amplement suffi à nous satisfaire. Au final, le jeu perd énormément de son charme, et ses visuels, qui auraient pu être un atout, deviennent un fardeau.
D’ailleurs, comment ne pas parler des menus, qui sont juste horribles, à la fois visuellement et dans leur navigation. La présentation du jeu n’est clairement pas soignée, et c’est dommage, car celui-ci peut avoir un intérêt certain pour les joueurs recherchant un défi relevé. Ces graphismes bas de gamme, couplés à un prix de 25€ bien trop élevé pour un jeu téléchargeable de cet acabit, font qu’il est difficile de recommander d’acheter ce jeu les yeux fermés. Si vous aimez les jeux de plates-formes qui demandent de la maîtrise, peut-être alors serez-vous intéressés. Dans ce cas, soit vous trouvez un ami qui possède le jeu, soit vous vous contentez de regarder quelques vidéos pour savoir à quoi vous attendre, mais sachez que la frustration sera au rendez-vous. À vous de juger si elle en vaudra la peine, et si vous saurez l’endurer.
UmiharaKawase (tout attaché) est une série de jeux de plates-formes qui a débuté il y a 20 ans sur SNES. Son nouvel épisode, Sayonara UmiharaKawase (que l’on peut traduire par « Adieu UmiharaKawase), est le premier à sortir du Japon. L’occasion pour nous de découvrir le gameplay complexe à maîtriser et les niveaux tordus typiques de cette licence.
Un jeu difficile
UmiharaKawase est une série vraiment étrange, qui nous met dans la peau d’une fillette évoluant dans un décor insolite, pour ne pas dire insensé. Armée d’une ligne de pêche lui permettant de s’accrocher aux murs, elle parcourt des niveaux courts, mais au challenge relevé. Tout comme dans les épisodes précédents, l’héroïne devra se balancer afin de franchir des trous béants, ou atteindre des plates-formes en hauteur. Il faudra également se débarrasser de divers ennemis ayant la forme de poissons sur pattes, afin de pouvoir rejoindre la porte marquant la sortie de chacun des cinquante niveaux que compte le jeu.
Comme les précédents épisodes, Sayonara UmiharaKawase est un jeu difficile, exigeant. Bien que les niveaux soient vraiment courts, la plupart pouvant être terminés en moins de 20 secondes, leur difficulté fait que le joueur bloquera souvent tant qu’il ne maîtrisera pas la physique de balancement. D’ailleurs, on peut rapidement se rendre compte du niveau des autres joueurs en regardant les meilleurs temps pour chaque niveau, ou en cherchant quelques vidéos du jeu sur Youtube, une expérience assez déprimante au demeurant. On se rend compte avec la pratique que, si les niveaux peuvent se terminer via le chemin principal, on peut aussi emprunter de nombreux chemins alternatifs, beaucoup moins évidents. Dommage d’ailleurs que l’écran inférieur de la 3DS ne soit pas utilisé pour montrer une vue du niveau, cela rendant plus difficile la découverte de ces chemins alternatifs. En outre, cette omission n’aide pas du tout le joueur dans sa découverte des niveaux, qui se fera souvent à l’aveugle, avec les échecs, la frustration et les blocages qui en découlent.
Des visuels trop sommaires
Les choix graphiques pour cet épisode sont pour le moins discutables. Sans s’attarder sur l’univers, qui pour le coup est respecté, le jeu est réalisé dans une 3D sommaire, qui nous rappellerait presque la N64. Les personnages et ennemis sont grossiers, et l’effet de parallaxe utilisé lorsque l’on progresse dans le niveau est incohérent et donne la nausée. Difficile de justifier ces choix, alors qu’un simple retour au design habituel de la série, avec peut-être des sprites plus détaillés et un effet de parallaxe bien calibré auraient amplement suffi à nous satisfaire. Au final, le jeu perd énormément de son charme, et ses visuels, qui auraient pu être un atout, deviennent un fardeau.
D’ailleurs, comment ne pas parler des menus, qui sont juste horribles, à la fois visuellement et dans leur navigation. La présentation du jeu n’est clairement pas soignée, et c’est dommage, car celui-ci peut avoir un intérêt certain pour les joueurs recherchant un défi relevé. Ces graphismes bas de gamme, couplés à un prix de 25€ bien trop élevé pour un jeu téléchargeable de cet acabit, font qu’il est difficile de recommander d’acheter ce jeu les yeux fermés. Si vous aimez les jeux de plates-formes qui demandent de la maîtrise, peut-être alors serez-vous intéressés. Dans ce cas, soit vous trouvez un ami qui possède le jeu, soit vous vous contentez de regarder quelques vidéos pour savoir à quoi vous attendre, mais sachez que la frustration sera au rendez-vous. À vous de juger si elle en vaudra la peine, et si vous saurez l’endurer.
UmiharaKawase (tout attaché) est une série de jeux de plates-formes qui a débuté il y a 20 ans sur SNES. Son nouvel épisode, Sayonara UmiharaKawase (que l’on peut traduire par « Adieu UmiharaKawase), est le premier à sortir du Japon. L’occasion pour nous de découvrir le gameplay complexe à maîtriser et les niveaux tordus typiques de cette licence.
Un jeu difficile
UmiharaKawase est une série vraiment étrange, qui nous met dans la peau d’une fillette évoluant dans un décor insolite, pour ne pas dire insensé. Armée d’une ligne de pêche lui permettant de s’accrocher aux murs, elle parcourt des niveaux courts, mais au challenge relevé. Tout comme dans les épisodes précédents, l’héroïne devra se balancer afin de franchir des trous béants, ou atteindre des plates-formes en hauteur. Il faudra également se débarrasser de divers ennemis ayant la forme de poissons sur pattes, afin de pouvoir rejoindre la porte marquant la sortie de chacun des cinquante niveaux que compte le jeu.
Comme les précédents épisodes, Sayonara UmiharaKawase est un jeu difficile, exigeant. Bien que les niveaux soient vraiment courts, la plupart pouvant être terminés en moins de 20 secondes, leur difficulté fait que le joueur bloquera souvent tant qu’il ne maîtrisera pas la physique de balancement. D’ailleurs, on peut rapidement se rendre compte du niveau des autres joueurs en regardant les meilleurs temps pour chaque niveau, ou en cherchant quelques vidéos du jeu sur Youtube, une expérience assez déprimante au demeurant. On se rend compte avec la pratique que, si les niveaux peuvent se terminer via le chemin principal, on peut aussi emprunter de nombreux chemins alternatifs, beaucoup moins évidents. Dommage d’ailleurs que l’écran inférieur de la 3DS ne soit pas utilisé pour montrer une vue du niveau, cela rendant plus difficile la découverte de ces chemins alternatifs. En outre, cette omission n’aide pas du tout le joueur dans sa découverte des niveaux, qui se fera souvent à l’aveugle, avec les échecs, la frustration et les blocages qui en découlent.
Des visuels trop sommaires
Les choix graphiques pour cet épisode sont pour le moins discutables. Sans s’attarder sur l’univers, qui pour le coup est respecté, le jeu est réalisé dans une 3D sommaire, qui nous rappellerait presque la N64. Les personnages et ennemis sont grossiers, et l’effet de parallaxe utilisé lorsque l’on progresse dans le niveau est incohérent et donne la nausée. Difficile de justifier ces choix, alors qu’un simple retour au design habituel de la série, avec peut-être des sprites plus détaillés et un effet de parallaxe bien calibré auraient amplement suffi à nous satisfaire. Au final, le jeu perd énormément de son charme, et ses visuels, qui auraient pu être un atout, deviennent un fardeau.
D’ailleurs, comment ne pas parler des menus, qui sont juste horribles, à la fois visuellement et dans leur navigation. La présentation du jeu n’est clairement pas soignée, et c’est dommage, car celui-ci peut avoir un intérêt certain pour les joueurs recherchant un défi relevé. Ces graphismes bas de gamme, couplés à un prix de 25€ bien trop élevé pour un jeu téléchargeable de cet acabit, font qu’il est difficile de recommander d’acheter ce jeu les yeux fermés. Si vous aimez les jeux de plates-formes qui demandent de la maîtrise, peut-être alors serez-vous intéressés. Dans ce cas, soit vous trouvez un ami qui possède le jeu, soit vous vous contentez de regarder quelques vidéos pour savoir à quoi vous attendre, mais sachez que la frustration sera au rendez-vous. À vous de juger si elle en vaudra la peine, et si vous saurez l’endurer.
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